Comptant plus de 11 000 agents, le ministère de la Culture assure la gestion du patrimoine français. Qu’il soit architectural, archéologique ou naturel. Dans le cadre de leur projet de dématérialisation des procédures administratives, le ministère a retenu la solution de signature électronique transverse de Goodflag.
Dans le cadre de ses missions, le ministère de la Culture produit de nombreux documents à valeur juridique. Par exemple, il est régulièrement consulté par la Direction Générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature (DGALN) lorsque sont déposées des demandes de travaux sur ou à proximité d’un site historique, d’un patrimoine naturel protégé ou d’un site archéologique. Le ministère délivre ainsi des actes, des avis ou des arrêtés qui sont signés par des agents chargés d’étudier, conserver et mettre en valeur le patrimoine.
Ce cas d’usage ainsi que la dématérialisation des procédures d’urbanisme (obligatoire dès le 1er janvier 2022) ont conduit le ministère à chercher une solution de signature électronique capable de répondre à l’ensemble de leurs besoins transverses.
C’est la solution Goodflag qui a été adoptée par le ministère car celle-ci s’adaptait à leurs problématiques d’intégration complexes.
Le ministère de la Culture est amené à signer des arrêtés, qui donnent suite à des demandes d’autorisation de travaux ou d’urbanisme et à des avis attributifs de subvention. D’autres documents sont produits hors du SI : pièces juridiques ou administratives, courriers, etc.
À cette grande variété de contenus à signer, s’ajoute également celle des profils des signataires :
Autant de défis auxquels l’expertise de Goodflag a parfaitement répondu.
En effet, Goodflag a apporté une solution adaptée aux enjeux de sécurité du ministère, organisée en deux niveaux :
Afin de répondre aux besoins de sécurité et d’identification du ministère, des cartes agents, personnelles, nominatives et incessibles, ont été déployées.
Demandées à l’ANTS et imprimées par l’Imprimerie Nationale, ces cartes à puces intègrent des certificats électroniques correspondant au plus haut niveau de signature électronique : le niveau de signature qualifié. Des certificats de signature RGS*** (Référentiel général de sécurité) peuvent également être utilisés.
Cela permet de garantir la chaîne de confiance du ministère tout en préservant l’intégrité et la présomption de fiabilité des documents.
Pour en savoir plus sur ce cas d’usage, nous avons organisé un webinaire avec le Ministère de la Culture. :
Pour plus d’informations, téléchargez notre livre blanc « Signature électronique et secteur public : comprendre les enjeux. »