Article mis à jour le 24 avril 2025
Avec ses 11 000 agents, le Ministère de la Culture veille à la préservation et à la valorisation du patrimoine français. Engagé depuis plusieurs années dans une profonde transformation numérique, il a choisi Goodflag pour dématérialiser ses circuits de signature et de validation, notamment dans le cadre de l'obligation de dématérialisation des procédures d'urbanisme (1er janvier 2022). Retour sur une collaboration fructueuse pour l’administration comme pour les utilisateurs.
Le travail en partenariat entre le ministère de la Culture et Goodflag remonte à 2019. À cette époque, la dématérialisation des procédures du Ministère est balbutiante.
Pourtant des échéances se profilent, et notamment l’obligation de dématérialisation des procédures d’urbanisme, qui doit prendre effet le 1er janvier 2022.
Un impératif qui s’additionne à de nombreux autres besoins transverses de numérisation de démarches administratives parfois complexes, à l’image des démarches de subventions ou bien de dématérialisation des processus internes, administratifs et financiers.
Face à un cahier des charges exigeant, le choix s’est porté sur Goodflag.
La solution s’est imposée grâce à ses atouts majeurs : un coût modulable, une API flexible, une parfaite adéquation avec les exigences réglementaires et les impératifs de sécurité, ainsi qu’un accompagnement personnalisé et agile pour la mise en œuvre de la signature électronique.
L’intégration avec le système SSO (authentification unique) et les outils métiers internes (gestion des subventions, droits d’urbanisme…) a permis une gestion fluide des différents niveaux de signature, malgré les contraintes administratives.
Goodflag a également répondu aux enjeux de sécurité du ministère en utilisant ses serveurs SMTP pour les notifications et relances par mail, tout en tenant compte de la mobilité des signataires. Autant d’éléments qui ont renforcé la chaîne de confiance, préservé l’intégrité des documents et assuré leur présomption de fiabilité.
Les bénéfices sont immédiats pour les agents comme pour les usagers. Depuis la mise en œuvre de la signature électronique, les statistiques parlent d’elles-mêmes : environ 45 000 documents sont signés chaque mois, dont 90 % liés au droit de l’urbanisme. L’adoption de la signature électronique a permis de réduire les temps de traitement, d’améliorer les délais de réponse et d’avoir une meilleure visibilité sur le traitement des dossiers.
Un gain de temps appréciable pour les agents. Notamment les Directions Régionales des Affaires Culturelles (DRAC), dont les retours sont très positifs sur la facilité d’utilisation de l’outil.
Si aujourd’hui, le déploiement est encore progressif et limité à certains services, le Ministère de la Culture envisage de nouvelles perspectives. Dans un premier temps, le Ministère aimerait étendre la signature électronique à de nouveaux services, tels que les ressources humaines et les achats. De belles pages restent donc à écrire, et plus particulièrement du point de vue de l’accompagnement au changement.
Pour en savoir plus sur ce cas d’usage, nous avons organisé un webinaire avec le Ministère de la Culture. :
Pour plus d’informations, téléchargez notre livre blanc « Signature électronique et secteur public : comprendre les enjeux. »